Pourquoi ?

Pour des raisons qui semblent évidentes mais qui nécessitent néanmoins des explications.

Si l’arbre séquestre du carbone, développe la biodiversité et permet de transformer le paysage de notre territoire, il nécessite néanmoins que l’homme ne s’en serve comme un outil pour se dédouaner de ses responsabilités.

Il n’est pas là pour « compenser » une activité trop gourmande en CO2 et donner bonne conscience. Mais pour contribuer à (re)trouver un écosystème viable pour tous.

Et c’est bien l’objectif de ce salon qui souhaite avant tout donner des clefs pour réduire son empreinte et lutter contre le dérèglement climatique

• En partageant les retours d’expérience, les méthodes à appliquer, les processus collaboratifs à mettre en place.
• En montrant que si le chemin peut sembler compliqué, il est plus facile avec de l’accompagnement et du partage.

Le projet « Forêt bleue », une initiative citoyenne

De nombreux espaces ne sont aujourd’hui pas arborés car ils sont jugés trop petits pour intéresser une exploitation forestière alors que ces petits espaces sont aménageables ou peuvent être des sanctuaires dédiés à la nature. Partant de ce constat, un ensemble de citoyens a décidé de se mobiliser pour développer des micro-forêts dans nos communes.

Ces espaces permettront également de développer des lieux de sensibilisation à l’environnement.

Un premier terrain de 11 000 m2 sur la commune de Dompierre-sur-Mer accueillera près de 10 000 arbres et arbustes d’une trentaine d’essences différentes.